(Last update : Sat, 24 Jul 1999)
[ dupont ]
André DUPONT,
Vice-président de
la Société d'Archéologie et d'Histoire
du département de la Manche
Les DUPONT, de COUVILLE et HARDINVAST,
Leurs alliés,
Les quatre branches de leur descendance
patronymique,
Essai de monographie familiale, avec
un florilège de littérature notariale
et d'Etat civil.
Tome 3
Branche 4, issue de Louis-Guillaume DUPONT,
Familles alliées: LEQUERIER, MDUCHEL-ROUXELET, LE BOISSELIER, LEGASTELOIS, DROULIN (suite).
Annexes, Index sélectif, Addenda et corrigenda,
Table des matières.
1993
VI
BRANCHE IV
issue de Louis-Guillaume DUPONT (suite)
Ses alliés (suite). LEGASTELOIS, DROULIN.
[page 531]
12ème degré
branche 4
rameau 4
sous-rameau 2
XII - René-Louis-Auguste DUPONT
né à Equeurdreville, 11 juin 1888, + Equeurdreville, 15 juillet 1968
3ème enfant de Bienaimé-Auguste-Paul Dupont et de Marie-Augustine Le Boisselier
Epoux de Simone-Jeanne Legastelois (mariage 7 mai l919)
Mon père naquit à Equeurdreville. "L'an mil huit cent quatre-ving-huit, le onze juin à quatre heures du soir, en notre mairie, par devant nous, Dumoncel Jacques, maire, officier de l'Etat civil de la commune d'Equeurdreville,... est comparu: Dupont Bienaimé-Auguste-Paul, âgé de trente-neuf ans, forgeron à la Marine, domicilié en cette commune, hameau Pinel, lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin ou plutôt masculin, né de ce matin à une heure en son domicile sus-désigné, de lui déclarant et de Marie-Augustine Le Boisselisr son épouse, ménagère, âgée de trente-quatre ans, domiciliée avec lui, et auquel enfant il a déclaré donner les prénoms de René-Louis-Auguste. Lesdites déclarations et présentation faites en présence de Brien Julien-Jacques-François, âgé de soixante-six ans, propriétaire, et Couppey Arsène-Jules, âgé de vingt-sept; ans, écrivain, tous deux domiciliés en cette commune, témoins qui ont signé avec nous le présent acte ainsi que le père de l'enfant après lecture faite"(1).
Après avoir fréquenté l'école primaire de la rue de l'Eglise, dont le Directeur, Duruel, m'a-t-il dit, aurait voulu faire de lui un instituteur, et commencé à travailler un an à Cherbourg, il fut admis comme apprenti armurier par la colonel, directeur d'artillerie navale et invité à prendre le travail à l'atelier de l'armurerie le 1er septembre 1902, à sept heures du matin, en apportant des effets de travail et des vivres pour la journée (2).
Il fît son essai d'ajusteur le 8 juin 1906. Il s'agissait de faire un cassé ajusté dans une plaque. Cet essai, qui demanda 16 heures 1/2 de travail, fut noté "3ème classe très fort". Son instruction générale fut noté "a(instruction un peu étendue)". La solde proposée, 2 f. 50 + 2 primes pour l'instruction + 2 primes pour l'essai manuel, total 2 f. 90(3) .
Il fut employé à cette paye, comme ouvrier stagiaire de 5ème classe jusqu'au 13 juin inclus (4). Ayant contracté un engagement volontaire de trois ans, il resta affecté à la Direction d'artillerie navale comme ouvrier militaire armurier (5). Quartier-maître le 30 janvier 1907, il fut désigné pour le croiseur de 2ème classe Catinat, à compter du 10 avril 1907, et après 45 jours de voyage, par Marseille, Port-Saïd, Aden, Bombay et Colombo, rejoignit le bâtiment à Nouméa le 25 mai 1907 (6). Ce bateau formait, avec la canonnière La Zélée et le trois-mâts le Vaucluse, la Division navale du Pacifique. Les archives de la 1ère région, à Cherbourg, possèdent le rôle d'équipage du Catinat pour 1908, qui nous indique tous les déplacements du bâtiment, mais celui de 1907 manque. On peut néanmoins reconstituer la campagne de mon père, pour sa première partie, grosso modo d'après la correspondance reçue par lui, de sa famille et qu'il avait soigneusement conservée et annotée (7) .
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René-Louis-Auguste DUPONT (1888-1968) mon père, |
L'équipage du Catinat. [page 532]
On le trouve:
- à Nouméa, les 24, 31 mai et 4 juin 1907, Le navire quitte San-Diego le 24 novembre l907 et arrive le 8 décembre à Santa-Rosalia. Vers le 21 décembre, il est à Acapulco, au Mexique.
Au cours de l'année 1908, on note :
- Taiohoe (Iles Marquises), du 2 au 5 janvier 1908; Se trouvant à terre à Sidney, mon père fut bousculé par une voiture. Relevé dans un état comateux, il entra à l'hôpital de cette ville le 22 avril et en ressortit le 4 mai. Mais le médecin du bord, estimant que le climat de Nouméa, où l'on retournait lui serait peu favorable, de le renvoyer en métropole. Le 26 juin l908, il revenait à la Direction d'Artillerie navale du Port de Cherbourg (8)
. Il fut libéré le 14 juin 1909. Le capitaine de vaisseau Buchard, commandant le Catinat le notait comme suit:
Sur la passerelle, neuvième à partir
de la droite, quartier-maître armurier
René DUPONT.
- à Sidney, les 23 Juin et 1er Juillet l907;
- à Nouméa, le 17 août 1907;
- à Pago-Pago, le 30 août 1907;
- à Papeete, les 8, 14 et 26 septembre l907;
- à Honolulu, les l2, 16 et 28 octobre l907;
- à San Diego (U.S.A.) les 7, 10, 14 et 22 novembre 1907.
- Papeete, du 8 au 30 Janvier l908;
- Auckland (Nouvelle Zélande), du 9 au 21 février 1908;
- Hobart Town (Tasmanie), du 27 février au 1er mars 1908;
- Melbourne du 3 mars au 4 avril 1908;
- Sidney, du 6 avril au 17 juin l908.
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Conduite |
Moralité |
Aptitude |
Manière de servir et de gérer le matériel |
Santé |
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1907 |
T.B |
T.B |
T.B |
T.B |
Excellente |
Bon ouvrier |
1908 |
excellente |
excellente |
supérieure |
Consciencieux et zélé |
T.B |
Excellent quartier-maître. Apte (9) |
Mon père prépara l'Ecole de Maistrance, destinée à former les cadres techniques civils. Il y fut admis aux deux stades, tant à Cherbourg qu'à Brest où il se trouvait à cet effet en 1912-1913. Pendant la guerre de 1914-1918, il resta mobilisé sur place. La Direction d'Artillerie travaillait à plein rendement et gardait soigneusement ses spécialistes.
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[page 533]
Il fut nommé, par décision ministérielle du 17 décembre 1916, agent technique de 3ème classe à compter de cette date (10).
Ma mère est née à Versailles, d'un père originaire de Saint-Germain-sur-Ay (Manche) et d'une Dunoise. "Du lundi trente avril mil huit cent quatre-vingt-quatorze, onze heures du matin, acte de naissance de Simone Jeanne, du sexe féminin, née hier à six heures et demie du matin, en la demeure de ses père et mère, à Versailles, rue de Noailles 8, fille de Edouard Louis Pierre Legastelois, employé des Contributions indirectes, âgé de vingt-six ans et de Ophelle Hélène Millet, son épouse, sans profession, âgée de trente ans. Les témoins sont: Edmond Albert Thomas, employé des contributions indirectes, âge de vingt-six ans, demeurant à Versailles, avenue de Paris, 20, et Henri Paul Bastide, employé des Contributions indirectes, âgé de vingt-six ans, demeurant à Versailles, rue de l'Occident, 6, sur la présentation de l'enfant et la déclaration de son père qui, après lecture faite, a signé avec les témoins et nous, Jules Tissu, adjoint au maire, remplissant, par délégation les fonctions d'officier public de l'Etat-civil (11).
Leur mariage eut lieu à Equeurdreville: "Le sept mai mil neuf cent dix-neuf, dix heures du matin, en notre Mairie, devant nous Mars Hippolyte, maire, officier de l'Etat civil de la ville d'Equeurdreville, ont comparu publiquement en la maison commune.
René-Louis-Auguste DUPONT, agent technique de la Marine, domicilié à Equeurdreville rue de la Paix, né à Equeurdreville le onze juin mil huit cent quatre-vingt-huit, fils majeur de feu Bienaimé-Auguste-Paul Dupont et de feue Marie-Augustine Le Boisselier, autorisé à contracter mariage par décision du Préfet Maritime de Cherbourg en date du vingt-trois avril mil neuf cent dix-neuf, d'une part,
Et Simone-Jeantie LEGASTEWIS, sans profession, née à Versailles (S.-et-0.) le vingt-neuf avril mil huit cent quatre-vingt-quatorze. domiciliée à Equeurdreville rue de la Paix, fille majeure de Edouard-Louis-Pierre Legastelois, receveur des Contributions Indirectes, domicilié au Faoüet (Morbihan), présent et consentant, et de feue Millet Ophelle-Hélène, d'autre part,
Les futurs époux et les personnes présentes qui autorisent ce mariage nous ont déclaré qu'il n'a pas été fait entre eux de contrat de mariage. Aucune opposition n'ayant été faite, les contractants ont déclaré l'un après l'autre vouloir se prendre pour époux et nous avons prononcé au nom de la loi que Dupont René-Louis-Auguste et Legastelois SimoneJeanne sont unis par le mariage. Dont acte en présence de
1° Bouin Germain, vingt-quatre ans, sergent au 70e. régiment d'Infanterie, domicilié à Equeurdreville, cousin germain de l'époux,
2° Louise Dupont, trente-huit ans, couturière, domiciliée à Equeurdreville, rue de la Paix, n°21, soeur de l'époux,
3° Victor Beaumont, cinquante-six ans, agent technique principal de la Marine, oncle de l'épouse, domicilié à Equeurdreville,
4° Auguste Legastelois, quarante-cinq ans, gendarme, domicilié à Saint-Brieuc, oncle de l'épouse.
Lecture faite les époux, le père de l'épouse et les témoins ont signé avec nous" (12)
La Direction d'Artillerie Navale du Port de
Cherbourg et un aspect de sa Salle d'Armes.
386 CHERBOURG. - Arsenal Maritime - Une Allée de la Salle d'Armes
Collection P. B., Cherbourg
Le traité de mariage de Charles Legastelois (768) et Françoise Piton (769) (13 août 1656)
(page 534]
Mon père fit toute sa carrière à la Direction d'Artillerie navale du Port de Cherbourg. Agent technique principal de 1ère classe dès le 1er janvier 1930, il occupa notamment, de 1936 à 1938, le poste de chef du secrétariat du Directeur, et, de l936 à juin 1940, celui de chef de groupe d'ateliers: outillage, électricité, immeubles et apprentis (13),
Les événements de 1940 amenèrent évidemment un trouble considérable dans le fonctionnement d'un établissement militaire. Les vieux agents techniques n'eurent pas à s'en féliciter. Le 15 février 1941, 16 d'entre eux, dont mon père, se voyaient adresser une note par le Directeur des Industries navales, les invitant à prendre leur service à la Mairie de Cherbourg le 24. La Marine avait désormais trop de personnel et en prêtait à la Mairie, dont la tâche, avec les problèmes nés de l'occupation allemande et principalement celui du ravitaillement, s'était considérablement alourdie.
Le 16 mai 1541, le Maire de Cherbourg recevait une note de la Marine l'informant qu'à compter de cette date, les agents techniques Dupont René, Poulidot Paul et Corbet Henri, employés dans ses services, cesseraient leurs fonctions en raison d'un arrêté ministériel récent les plaçant en position de retraite. Il s'agissait de l'arrêté pris à Vichy le 23 avril précédent, les admettant à "bénéficier" des dispositions de la loi du 27 janvier l941 sur les dégagements de cadres des fonctionnaires et employés en surnombre au Secrétariat d'Etat à la Marine. "Sans avoir été soumis à l'examen d'un conseil de santé ou de réforme, précisait mon père dans une lettre adressée le 15 juillet 1946 au Ministre de l'Armement, ma mise à la retraite, a été prononcée d'office et arbitrairement sous le prétexte d'usure prématurée, après que j'eus décliné l'offre de souscrire un engagement de mutation d'office pour une destination non précisée, mesure que j'estimais contraire au statut du personnel et plutôt propre à favoriser les buts militaires de l'occupant". Il ajoutait que les dernières fonctions qu'il avait occupées ne semblaient "guère compatibles avec un état d'usure prématurée" (14).
Par arrêté du 20 juin 1946, il avait été réintégré le Corps du Personnel technique, mais ne reprit jamais son service. Ses intérêts, comme ceux de ses collègues, finirent, non sans luttes, par être pris assez largement en considération (15).
Par décision 15 927 IN 2, du 11 juillet l942, le Secrétariat à la Marine lui avait accordé une médaille d'honneur en argent, "en récompense de ses bons et loyaux services dans les Arsenaux de la Marine" (16).
[page 535]
En 1925, il s'était rendu acquéreur d'un terrain, sis à Equeurdreville, rue Paul Bert (anciennement les Nouettes):
"Transcription 1216-51 du 3 février 1925 - Me. Le Bras. M. Joseph-Etienne Philipps, premier-maitre mécanicien en retraite et Augustine-Marie Leneveu, époux, rue Gambetta à Equeurdreville (lui veuf en premières noces de Médart Marina) ont vendu à M.René Dupont époux Legastelois, Origine de propriété Origine antérieure M. Toussaint avait acquis de Melle. Eugénie Camelot, prop. à Equeurdreville, suivant p.v. adj. Me. Huet, notaire à Cherbourg, le 17 novembre 1881, transcrit le 18 décembre 1881, Ve. 531, n° 30
Prix Mon père fit bâtir sur ce terrain une maison que nous occupâmes en 1929.
La plus grande partie du mobilier qu'elle contenait, évacué (suite aux mesures prises par les autorités d'occupation) à Tessy-sur-Vire, en même temps que celui de ma tante, Louise Dupont, y fut détruit par incendie, lors des combats de la libération. Une fraction des archives familiales y disparut également.
Mon père avait occupé différents emplois depuis sa mise à la retraite d'office, aux Établissements Simon, à Cherbourg, au Ravitaillement général à Saint-Lô et Coutances, aux Ponts et Chaussées à Cherbourg.
Il fit partie au cours de sa vie de différents groupements et fut notamment président des Anciens du Patronage Saint-Joseph d'Equeurdreville et de la Conférence de Saint-Vincent-de Paul. Il avait milité dans les rangs du Parti Démocrate Populaire.
Il est mort dans sa maison le 15 juillet 1968 à huit heures vingt-cinq minutes du matin.
Enfants:
1 - André-Joseph-Auguste DUPONT, auteur de la présente monographie qui suit, au treizième degré.
une parcelle de terrain rue Paul Bert à Equeurdreville, nature de jardin cont. 8 ares 25 ca. environ, à prendre contre Mme. Lagalle dans une pièce de même nature cont. 16 ares 50 ca. environ, cadastrée section A n° 533 P et 534 P, bornée à l'est par Philippe, haie mitoyenne, à l'ouest par Lagalle, au nord la rue Paul Bert, au sud par M. Poulet (haies et clôtures mitoyennes)
Communauté acq. des époux Poulain Charles-Jean, quincailliér, et Toussaint Louise, 19, rue des Portes à Cherbourg, prix 2 000 frs payé comptant, Me. Enault, 25 février 1920, transcription 2 avril, même année 1087-37.
Propre à Mme Poulain, héritière de ses parents, René Toussaint et Louise Dubost ses père et mère, décédés le mari à Cherbourg le 16 mars 1889, la femme à Cherbourg le 10 novembre 1863. Partage Me. Legoupil du 28 mai 1896.
4 000 frs, acte du 27 janvier 1925.
M. PHILLIPS, né à Marseille le 5 janvier 1855 et Mme. à Equeurdreville le 14 août 1854" (17).
Ecole de Maistrance de Brest
Au premier rang, deuxième à partir de la droite, René DUPONT.
René DUPONT, Simone LEGASTELOIS
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2 - Henri-Victor-Edouard DUPONT, qui suit, au treizième degré.
3 - Paul-Marie-Auguste DUPONT, qui suit, au treizième degré.
4 - Bernard-Louis-André DUPONT, né à Equeurdreville le 26 février 1932, décédé à Saint-Lô le 6 juin 1944, victime du bombardement de cette ville. Par décision du Ministère des A.C.V.G. n°105 626 du 12 juin 1950, la mention "Mort pour la France" a été inscrite sur les registres d'Etat civil. Une plaque a été apposée par le Souvenir Français sur la concession dont j'ai parlé et où les restes de mon jeune frère ont été réinhumés (18).
Simone-Jeanne Legastelois, notre mère, retirée à la Résidence Sainte-Marie, maison de retraite du Bon Sauveur de Saint-Lô, est décédée à l'Hôpital-Mémorial de cette ville le 21 mars 1984. Son corps a été ramené à Equeurdreville et inhumé dans la même concession.
La maison sise 71, rue Paul Bert, à Equeurareville, a été vendue, par acte du 6 octobre 1977, passé devant Me Charles Damourette, notaire associé à Cherbourg, à M. Robert-Emile-René Catherine ingénieur à la D.C.A.N.,et son épouse, par le prix principal de 256 000 francs.
mariés 1919,
mes parents
La maison familiale
(1)
Etat-civil d'Equeurdreville
(2)
Archives familiales
(3)
ibid.
(4)
Congé d'ouvrier au 14 juin 1906. Matricule 2097 fol. 6, vol. 7, Archives familiales
(5)
C'était le seul corps de la Marine qui portât comme insignes des grenades sur le bras droit de la vareuse et au caban au lieu des ancres.
(6)
Archives 1ère Région. Matricule des Armuriers - Livret militaire personnel
(7)
Archives familiales. La correspondance qu'il avait adressée à son père et à sa soeur a malheureusement disparu en 1944.
(8)
Archives de la 1ère Région. Rôle du Catinat. Matricule des Armuriers. Il cessa de faire partie de la Division du Pacifique le 18 mai 1908, d'après son livret militaire. Le rôle du Catinat l'indique comme affecté au 5ème dépôt (Toulon) à cette date.
(9)
Archives de la 1ère Région. Matricule des armuriers.
(10)
Archives familiales
(11)
Etat civil de Versailles.
(12)
Etat civil d'Equeurdreville.
(13)
Archives familiales - Agent technique de 2ème classe le 10 février 1919, de lère le 21 mars 1922, principal de 3ème classe le 1er avril 1923, de 2ème le 4 décembre 1925 (Archives lère Région, Agents techniques).
(14)
Archives familiales.
(15)
ibid. Reclassement comme Technicien Chef de Travaux classe normale, 4ème échelon.
(16)
ibid.
(17)
Conservation des Hypothèques de Cherbourg.
(18)
Son nom est inscrit sur le monument aux morts d'Equeurdreville ainsi que sur la plaque apposée dans la chapelle de l'Institut libre d'Agneaux, dont il fut élève de 6ème en 1943-1944. (voir infra p. 609)
71, rue Paul Bert, à Equeurdreville.