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XVII - Alliés des Vallée. Autres Le Mériel (de Vesly).
Ils sont sûrement parents des Le Mériel étudiés supra P. 559 et ss. puisque nous
voyons Jacques Le Mériel, fils Eustache, présent au T.M. de Jacques Le Mériel (1552) et de Jeanne Desmoulins (1553).
1er degré
Eustache Le Mériel (6164)
2ème degré
Jacques Le Mériel (3O82). Epoux de Jeanne Falaize (3083), de. Lastelle.
Leurs enfants étaient:
- Isaac Le Mériel, prêtre. En 1639, il est curé de Saint-Laurent-du-Rieu, en 1655, curé de Gerville.
- Catherine Le Mériel (1541), épouse de Robert Vallée (1540).
- François Le Mériel. Elle épousa par T.M.
passé apparemment en 1623, d'après les millésimes de
certaines signatures, reconnu le 2 octobre 1640, Pierre Harivel, fils de Louis,
de la paroisse de Créances, et de défunte Perrine Houdenc (lisez
bien entendu Houdan), "vivante de la paroisse de Saint-Ouen-de-la-Besace".
La rente dotale est de 4 livres, racquittable par deux paiements égaux
"au prix de l'antienne constitution qui est de dix pour cent ... et pour don
mobli a esté p(ro)mys ung lict, ung traversain, un orillier, une couverture,
une courtine et de la plume, le toult selon l'usage de la maison, ung coffre
de boys chesne... fermant à clef, ung doublier, et du linge à
la volon(té) de mère, une robbe de drap noir, une b(r)achière,
un cotillon, avecq telle vesteure et accoustrementz qu'elle peult; avoir,
une vache avecq deulx nourritures, l'une d'un an et l'au(tre) de deulx, six
pièces de bercail fe(melle), cent dix solz pour pot, poille et tous
les au(tres meub(les)...". La marraine de la future lui donne également
deux pièces de bercail (A.D. Manche , 5 E 5485).
- Jeanne Le Mériel. Elle épousa, par T.M. au 9 janvier 1639, reconnu le 20 mai 1655, Gilles Le Marchand, bourgeois de Caen, fils de Robert et de Colasse Brandin, "vivants de la parr(oisse) de Saint-Martin de Caen" (ils sont donc décédés, de même que les parents de la future, dits "vivants de la parr(oisse de Vesly en Costentin". Le Mériel, curé de Saint,-Laurent-du-Rieu (au diocèse de Bayeux), promet de payer à la future, pour part de la succession de ses père et mère, 300 livres, dont 150 au jour des épousailles, et 150 "dans le jour de Saint Jean prochain ensuivant" , outre "ce que lad. Fille peut avoir de son péculion... présentement estimé... à la somme de cent livres" (A-D- Manche, 5 E5732).